Vous trouverez grâce à ce lexique la signification des termes employés sur PAB-Patrimoine ainsi que sur différents sites traitant d’investissements (finances personnelles, immobilier, bourse, entrepreneuriat…).
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Action : aussi appelée part sociale, c’est une partie du capital d’une société. La possession d’une action donne (dans la plupart des cas) droit à un dividende, à un droit de vote lors des assemblées générales et en cas de liquidation à un boni.
Auto-financement : pour une entreprise, il s’agit de financer un projet grâce à ses capitaux propres, sans faire appel à des fonds extérieurs. Pour un investissement immobilier, on parle d’auto-financement lorsque la totalité des charges liées au bien (mensualités d’emprunt, charges courantes, charges de copropriété, impôts/taxes…) sont couvertes par les loyers.
Bourse : terme qui désigne les marchés financiers en général. C’est le lieu de rencontre de vendeurs et d’acheteurs d’une multitude de produits aussi bien des titres que des matières premières ou de l’argent.
CAC 40 : terme signifiant « Cotation Assistée en Continu », c’est l’indice de la bourse de Paris comme le DAX 30 est l’indice allemand de la bourse de Francfort. Il est composé de 40 des sociétés les plus fortement capitalisées en bourse. Ces dernières sont choisies par le Conseil Scientifique des Valeurs et sont principalement Francaises. Le CAC 40 a comme base 1.000 points fixée au 31 décembre 1987.
Cours de bourse : c’est la valeur boursière d’un titre à un instant donné. Cette valeur est celle du dernière échange négocié entre un acheteur et un vendeur. Selon si le titre boursier est plus au moins liquide (très ou peu échangé), ce cours va varier constamment ou quelque fois dans la semaine, le mois.
Day-trading : pratique qui consiste à acheter puis revendre des produits boursiers dans une même journée. Cette pratique s’est développé grâce à la plus grande facilité d’accès aux marchés financiers pour les particuliers.
DOW JONES : c’est le plus vieille indice boursier du monde et de la bourse de New York, il est composé de 30 valeurs industrielles.
Dividende : c’est une rémunération versée (en numéraire ou en actions) par une société pour chaque action possédée. Néanmoins, son montant est en corrélation avec les bénéfices reversés par la société. Il est fixé chaque année et peut augmenter, stagner, diminuer ou ne pas être versé si l’entreprise rencontre des difficultés. Ce versement représente un bon moyen d’obtenir des revenus passifs réguliers.
Droits de garde : frais financiers occasionnés par la conservation de vos titres dans les livres de comptes de votre intermédiaire financier. Ceux-ci varient en fonction du courtier choisi, certains comme BINCK n’appliquent aucun frais de garde.
FOREX : c’est le marché des devises. On peut par exemple y acheter des dollars et y vendre des Euros. Sa particularité est qu’il est ouvert 24h/24 et 7j/7.
Frais de courtage : ce sont les frais appliqués à toute opération boursière, achat ou vente, par votre courtier. Ils sont souvent fixes jusqu’à un certain moment d’ordre puis croissant. Il est primordial de les prendre en compte dans ses calculs et bien sûr de trouver le courtier le moins cher du marché!
NASDAQ : ce fut le premier marché boursier sous forme électronique à être ouvert en 1971. Il est composé principalement de sociétés liées au monde des technologies et de l’internet. C’est le second marché boursier mondial le plus important derrière le NYSE.
OPCVM : c’est un Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières. C’est une société qui reçoit des fonds d’investisseurs et qui est chargé de gérer ses fonds selon une répartition précise par marché, en fonction du risque… Les SICAV et les FCP sont des OPCVM.
Rendement : c’est ce que nous rapporte un investissement. Ainsi, pour une action par exemple, le rendement est exprimé par la valeur du dividende divisé par le cours de bourse de l’action le jour du versement de celui-ci.
Résultat d’exploitation : c’est la différence entre les produits d’exploitation et les charges d’exploitation générés par l’activité de la société. C’est l’indicateur préférentiel à prendre en compte pour analyser la véritable rentabilité, en effet si le résultat d’exploitation d’une organisation est négatif et qu’elle parvient tout de même à afficher un bénéfice alors il faut bien comprendre que ce dernier est obtenu soit par la vente d’un actif par exemple (résultat exceptionnel) ou par des revenus de placements financiers (résultat financier). Cela permet de s’assurer qu’une société retire bien ses bénéfices de son exploitation (qui est donc en bonne santé) et non d’une action non récurrente (comme la vente d’un actif une année).
Taux de distribution du dividende : il s’agit de savoir si une société est généreuse ou non dans la distribution de dividendes. C’est le rapport entre le montant total des dividendes distribués et le bénéfice net de l’entreprise. Certaines assurent chaque année un taux de 50% par exemple.
Taux d’endettement : c’est le rapport entre les dettes d’une société auprès des établissements de crédit et les fonds propres de celle-ci. Il ne faut pas qu’une société soit trop endetté, un taux élevé peut présager des difficultés dans le futur.